Un des engagements phares de Jean-Claude Gobé est l’implantation d’un plan d’intervention qu’il a nommé ORSEC: Organisation des secours. Il veut implanter une structure de commandement unique pour la gestion de crise dès la première année de son mandat.
«L’ensemble des services seront mobilisés sous la direction d’un seul chef, explique-t-il avec fermeté. Cela évitera les différents cafouillages administratifs et rendra la ville beaucoup plus efficace en cas d’urgence.
«Je vais renforcer nos structures pour protéger les Lavallois, poursuit-il. La Ville de Laval n’est pas à l’abri d’une catastrophe et je veux que nous soyons prêts à répondre à ce danger potentiel de crise.»
Des flèches
M. Gobé reproche au maire Demers de ne pas avoir agi rapidement lors des récentes catastrophes: inondations, colis suspect au métro Cartier et le déraillement du train de la Québec-Gatineau Railway dans le quartier Saint-François.
«Dans les cas de colis suspect et du déraillement, il n’y avait pas vraiment de plan d’urgence, autant pour évacuer les gens que pour traiter les matières, insiste-t-il. Je vais faire plus que préparer des plans de communication en cas de crise, comme l’a fait Marc Demers en se présentant le lendemain pour les photos.
«Je vais m’assurer que nos services soient prêts à agir dès qu’il y a un signalement, enchaîne-t-il. J’étais sur place le soir même du déraillement. Si un événement devait se produire sous ma gouverne, je déclencherais le plan d’intervention ORSEC.»
Augmenter les effectifs
«Il n’y a pas assez de policiers dans nos rues et cela est une entrave à l’efficacité de nos services, souligne le candidat à la mairie. Il n’y a que cinq voitures de patrouille la nuit sur l’ensemble du territoire de Laval.»
S’il est élu le 5 novembre, Jean-Claude Gobé augmentera le nombre d’autopatrouilles dans les rues de Laval, surtout la nuit. Il s’engage à doubler ce nombre dans la première année de son mandat.
Il croit que cette mesure raccourcira les délais d’intervention et préviendra considérablement le nombre de délits.
Poste de police
Cette augmentation des effectifs se fera également par l’implantation d’un nouveau poste de police destiné à mieux desservir l’ouest de Laval. «Le nouveau poste de quartier devient une nécessité, surtout avec les nouveaux développements et l’accroissement de notre population.»
Ces mesures, l’augmentation des effectifs et la construction d’un poste, coûteraient selon le chef d’Action Laval une cinquantaine de millions de dollars. «La sécurité n’a pas de prix. La Ville a l’obligation de protéger sa population.»
Rappelons qu’Action Laval milite fermement depuis quatre ans à l’implantation d’un service de premiers répondants avec les Services de sécurité incendie et de police. «Si les millions investis par le maire Demers dans le cadre des festivités du 50e anniversaire avaient été consacrés à un service de premiers répondants, cela aurait été un très beau cadeau pour les Lavallois. Ce service est un must», termine Jean-Claude Gobé.
Un des engagements phares de Jean-Claude Gobé est l’implantation d’un plan d’intervention qu’il a nommé ORSEC: Organisation des secours. Il veut implanter une structure de commandement unique pour la gestion de crise dès la première année de son mandat.
«L’ensemble des services seront mobilisés sous la direction d’un seul chef, explique-t-il avec fermeté. Cela évitera les différents cafouillages administratifs et rendra la ville beaucoup plus efficace en cas d’urgence.
«Je vais renforcer nos structures pour protéger les Lavallois, poursuit-il. La Ville de Laval n’est pas à l’abri d’une catastrophe et je veux que nous soyons prêts à répondre à ce danger potentiel de crise.»
Des flèches
M. Gobé reproche au maire Demers de ne pas avoir agi rapidement lors des récentes catastrophes: inondations, colis suspect au métro Cartier et le déraillement du train de la Québec-Gatineau Railway dans le quartier Saint-François.
«Dans les cas de colis suspect et du déraillement, il n’y avait pas vraiment de plan d’urgence, autant pour évacuer les gens que pour traiter les matières, insiste-t-il. Je vais faire plus que préparer des plans de communication en cas de crise, comme l’a fait Marc Demers en se présentant le lendemain pour les photos.
«Je vais m’assurer que nos services soient prêts à agir dès qu’il y a un signalement, enchaîne-t-il. J’étais sur place le soir même du déraillement. Si un événement devait se produire sous ma gouverne, je déclencherais le plan d’intervention ORSEC.»
Augmenter les effectifs
«Il n’y a pas assez de policiers dans nos rues et cela est une entrave à l’efficacité de nos services, souligne le candidat à la mairie. Il n’y a que cinq voitures de patrouille la nuit sur l’ensemble du territoire de Laval.»
S’il est élu le 5 novembre, Jean-Claude Gobé augmentera le nombre d’autopatrouilles dans les rues de Laval, surtout la nuit. Il s’engage à doubler ce nombre dans la première année de son mandat.
Il croit que cette mesure raccourcira les délais d’intervention et préviendra considérablement le nombre de délits.
Poste de police
Cette augmentation des effectifs se fera également par l’implantation d’un nouveau poste de police destiné à mieux desservir l’ouest de Laval. «Le nouveau poste de quartier devient une nécessité, surtout avec les nouveaux développements et l’accroissement de notre population.»
Ces mesures, l’augmentation des effectifs et la construction d’un poste, coûteraient selon le chef d’Action Laval une cinquantaine de millions de dollars. «La sécurité n’a pas de prix. La Ville a l’obligation de protéger sa population.»
Rappelons qu’Action Laval milite fermement depuis quatre ans à l’implantation d’un service de premiers répondants avec les Services de sécurité incendie et de police. «Si les millions investis par le maire Demers dans le cadre des festivités du 50e anniversaire avaient été consacrés à un service de premiers répondants, cela aurait été un très beau cadeau pour les Lavallois. Ce service est un must», termine Jean-Claude Gobé.