Xavier Van Chau, directeur des communications d’Uber, affirme que sa compagnie n’est pas présente sur le territoire lavallois, à part peut-être quelques chauffeurs qui résident à Laval et qui travaillent à Montréal.
«Nous voulons faire croître le marché de Montréal et de Québec. Nous ne pensons pas nous implanter pour l’instant à Laval. Nous n’avons pas de plan spécifique en ce sens», dit-il.
M. Van Chau n’a pas voulu se prononcer sur le fait que le service offert par Uber était illégal. «Pour cela, il faudrait parler au directeur général d’Uber Jean-Nicolas Guillemette, mais il est en congé de paternité», admet-il. «Il faudrait un projet de loi. Nous voudrions un encadrement», ajoute-t-il.
Notons qu’Uber connaît une croissance phénoménale dans le monde. Le service de covoiturage coordonné sans intermédiaire à l’aide de téléphones intelligents est offert à Montréal, Québec et semble s’implanter aussi à Laval.