Les candidats intéressés, qui avaient jusqu’au 23 janvier pour se manifester, devaient posséder une formation universitaire de premier cycle et plus de 15 ans d’expérience dans un poste similaire.
Nomination en avril
Le directeur général de la Ville, Serge Lamontagne, estime que le titulaire du poste devrait être connu et officiellement nommé à la séance du conseil du 7 avril prochain.
D’ici-là, le processus d’embauche confié à Raymond Chabot Grant Thornton et Cie se poursuit, alors que la firme SECOR-KPMG verra à compléter et déposer les conclusions de son rapport liées à la structuration de cette nouvelle direction générale adjointe (DGA) et l’intégration des rôles et responsabilités de Laval Technopole, du Centre local de développement (CLD) et de la Conférence régionale des élus (CRÉ), lesquels vivent leurs derniers moments.
«Les dirigeants de ces instances participent à nos rencontres [bimensuelles] de direction comme si on était intégrés. On travaille plus étroitement que jamais ensemble», a déclaré M. Lamontagne en entrevue au Courrier Laval, le 26 janvier.
Incidemment, un comité de transition est à pied d’œuvre afin de voir à une intégration harmonieuse. Tous les employés seraient déjà assurés de conserver leur emploi en 2015.
Selon l’offre d’emploi, qui a circulé sur différents sites d’affichage, le prochain DGA devra, en priorité, unifier et simplifier les offres de service existantes à la faveur d’une nouvelle offre intégrée. Prospecter de nouveaux investisseurs est évidemment au cœur du mandat.
Traitement
À se fier au salaire versé aux titulaires des 3 autres directions générales adjointes à Ville de Laval, le futur DGA au développement économique devrait toucher un salaire annuel de 194 313 $.
En comparaison, l’ancien président-directeur général de Laval Technopole, Pierre Desroches, recevait un traitement annuel de 218 400 $. Toutefois, les allocations mensuelles, la contribution à un régime d’épargne retraite personnel et le boni de rendement, alors prévus à la convention d’emploi de M. Desroches, faisaient passer les revenus annuels de l’ex-PDG à 283 950 $.