Médaillé d’or au relais aux Jeux olympiques d’Atlanta en 1996, Bruny a accepté avec joie de parler de motivation et dépassement de soi aux personnes qui participeront à cette activité de financement, le mercredi 1er novembre, à 18h. Il parlera de son parcours, de sa carrière d’athlète et de son travail comme conférencier. D’ailleurs, il était de retour de la Chine, le 19 octobre, ayant fait quelques conférences en Asie.
Bruny Surin est né au Cap-Haïtien et s’est installé avec sa famille à Montréal en 1975 lorsqu’il avait sept ans. «J’ai vécu dans la pauvreté, avoue-t-il. J’ai 2 filles de 23 ans et 21 ans en santé et je me sens choyé. La pauvreté chez les enfants, ça me touche beaucoup de là mon implication.»
Malgré les obstacles qu’il a rencontrés, il n’a jamais lâché prise. Il est convaincu que la persévérance est la clé du succès.
Se sortir de la misère
Dès son jeune âge, Bruny n’a qu’une seule idée en tête: se sortir de la misère. «Je l’ai eu à la dure, lance-t-il. J’ai toujours cru que je me sortirais de cette misère. J’étais très sévère avec moi. Le fait de croire en moi et le travail m’ont permis de m’en sortir. La confiance en soi peut faire la différence entre la réussite et l’échec.»
À l’adolescence, Bruny ne faisait pas encore de sport quand son grand-père lui a dit: «Tu feras quelque chose de grandiose un jour, mais je ne serai pas là pour le voir.»
«Ma mère m’a dit que nous étions au Québec et que tout pouvait arriver si on mettait les bouchées doubles. La vie est une ligne droite, pas question de tricher.»
L’ancien sprinter a débuté l’athlétisme à 17 ans et participé à ses premiers Jeux olympiques en 1988, à Séoul. «Mes parents m’ont toujours dit de travailler. Mon grand-père et mes parents avaient raison. J’ai connu du succès en travaillant et j’ai fait quelque chose de grandiose», raconte-t-il humblement.
Parler de ses rêves
Bruny souligne que dans la majorité de ses conférences, les gens hésitent à dévoiler leurs rêves. «Ils gardent cela secret, de crainte de faire rire d’eux. Je veux que les gens racontent leurs rêves. Il faut en parler et y croire.»
20 000 $
Le directeur général du Cosmodôme, Marc DeBlois, aimerait amasser 20 000 $ pour les enfants défavorisés, afin de leur donner accès aux programmes offerts au complexe du 2150 autoroute des Laurentides. L’an dernier, la Fondation a recueilli 10 000 $.
«Je souhaite de tout cœur que nous puissions atteindre l’objectif», termine Bruny Surin.
«En plus de stimuler l’intérêt des jeunes pour l’espace, elle leur permet de vivre des moments inoubliables dans un environnement unique», conclut Marc DeBlois.
Depuis maintenant quatre ans, la Fondation a remis plus de 20 000 $ dans la communauté.
Médaillé d’or au relais aux Jeux olympiques d’Atlanta en 1996, Bruny a accepté avec joie de parler de motivation et dépassement de soi aux personnes qui participeront à cette activité de financement, le mercredi 1er novembre, à 18h. Il parlera de son parcours, de sa carrière d’athlète et de son travail comme conférencier. D’ailleurs, il était de retour de la Chine, le 19 octobre, ayant fait quelques conférences en Asie.
Bruny Surin est né au Cap-Haïtien et s’est installé avec sa famille à Montréal en 1975 lorsqu’il avait sept ans. «J’ai vécu dans la pauvreté, avoue-t-il. J’ai 2 filles de 23 ans et 21 ans en santé et je me sens choyé. La pauvreté chez les enfants, ça me touche beaucoup de là mon implication.»
Malgré les obstacles qu’il a rencontrés, il n’a jamais lâché prise. Il est convaincu que la persévérance est la clé du succès.
Se sortir de la misère
Dès son jeune âge, Bruny n’a qu’une seule idée en tête: se sortir de la misère. «Je l’ai eu à la dure, lance-t-il. J’ai toujours cru que je me sortirais de cette misère. J’étais très sévère avec moi. Le fait de croire en moi et le travail m’ont permis de m’en sortir. La confiance en soi peut faire la différence entre la réussite et l’échec.»
À l’adolescence, Bruny ne faisait pas encore de sport quand son grand-père lui a dit: «Tu feras quelque chose de grandiose un jour, mais je ne serai pas là pour le voir.»
«Ma mère m’a dit que nous étions au Québec et que tout pouvait arriver si on mettait les bouchées doubles. La vie est une ligne droite, pas question de tricher.»
L’ancien sprinter a débuté l’athlétisme à 17 ans et participé à ses premiers Jeux olympiques en 1988, à Séoul. «Mes parents m’ont toujours dit de travailler. Mon grand-père et mes parents avaient raison. J’ai connu du succès en travaillant et j’ai fait quelque chose de grandiose», raconte-t-il humblement.
Parler de ses rêves
Bruny souligne que dans la majorité de ses conférences, les gens hésitent à dévoiler leurs rêves. «Ils gardent cela secret, de crainte de faire rire d’eux. Je veux que les gens racontent leurs rêves. Il faut en parler et y croire.»
20 000 $
Le directeur général du Cosmodôme, Marc DeBlois, aimerait amasser 20 000 $ pour les enfants défavorisés, afin de leur donner accès aux programmes offerts au complexe du 2150 autoroute des Laurentides. L’an dernier, la Fondation a recueilli 10 000 $.
«Je souhaite de tout cœur que nous puissions atteindre l’objectif», termine Bruny Surin.
«En plus de stimuler l’intérêt des jeunes pour l’espace, elle leur permet de vivre des moments inoubliables dans un environnement unique», conclut Marc DeBlois.
Depuis maintenant quatre ans, la Fondation a remis plus de 20 000 $ dans la communauté.