Avec ces investissements, les étudiants, professeurs et chercheurs auront accès à des installations ultramodernes pour effectuer des travaux de recherche parmi les plus avancés en sol canadien.
«Nous voulons faire du pays un chef de file en ce qui a trait à la transformation des idées en solutions, des sciences en technologies, des compétences en emplois, d’affirmer Jean-Claude Poissant, député fédéral de La Prairie de passage à l’Institut Armand-Frappier et dont le gouvernement fournira 5,33 M$. Dans une économie mondiale de plus en plus concurrentielle, leurs travaux et découvertes traceront la voie pour les futurs cerveaux innovateurs de notre société.»
«Au Québec, on oublie la grande institution qu’est l’INRS, basée à Laval, de continuer Francine Charbonneau, ministre provinciale responsable de la région et dont le gouvernement a octroyé 6,4 M$. En renouvelant ses infrastructures, nous nous assurons que l’Institut continue de jouer des rôles de premier plan dans la région et qu’elle demeure une source de fierté pour toute la collectivité.»
«On veut permettre de faire faire des découvertes qui assureront le bien-être de tous les citoyens du Québec dans notre quotidien», d’ajouter Guy Ouellette, député provincial de Chomedey.
L’INRS et d’autres partenaires compléteront ce support financier à une hauteur de 970 000 $, toujours afin d’optimiser les équipements permettant de dispenser la formation requise pour que les étudiants occupent les emplois bien rémunérés actuels et futurs de la classe moyenne, a aussi rappelé le directeur par intérim de l’institution postsecondaire, Claude Arbour.
Avec ces investissements, les étudiants, professeurs et chercheurs auront accès à des installations ultramodernes pour effectuer des travaux de recherche parmi les plus avancés en sol canadien.
«Nous voulons faire du pays un chef de file en ce qui a trait à la transformation des idées en solutions, des sciences en technologies, des compétences en emplois, d’affirmer Jean-Claude Poissant, député fédéral de La Prairie de passage à l’Institut Armand-Frappier et dont le gouvernement fournira 5,33 M$. Dans une économie mondiale de plus en plus concurrentielle, leurs travaux et découvertes traceront la voie pour les futurs cerveaux innovateurs de notre société.»
«Au Québec, on oublie la grande institution qu’est l’INRS, basée à Laval, de continuer Francine Charbonneau, ministre provinciale responsable de la région et dont le gouvernement a octroyé 6,4 M$. En renouvelant ses infrastructures, nous nous assurons que l’Institut continue de jouer des rôles de premier plan dans la région et qu’elle demeure une source de fierté pour toute la collectivité.»
«On veut permettre de faire faire des découvertes qui assureront le bien-être de tous les citoyens du Québec dans notre quotidien», d’ajouter Guy Ouellette, député provincial de Chomedey.
L’INRS et d’autres partenaires compléteront ce support financier à une hauteur de 970 000 $, toujours afin d’optimiser les équipements permettant de dispenser la formation requise pour que les étudiants occupent les emplois bien rémunérés actuels et futurs de la classe moyenne, a aussi rappelé le directeur par intérim de l’institution postsecondaire, Claude Arbour.