En avril dernier, plusieurs personnes avaient fait savoir leur mécontentement devant les bureaux du député Angelo Iacono, qui était sorti à l’extérieur rencontrer les participants et leur assurer son appui.
Cette fois-ci, c’est sur l’heure du midi devant l’édifice de l’Agence du revenu du Canada, avenue Jean-Béraud, à Chomedey, et en frappant sur une piñata en forme de phénix que 200 fonctionnaires travaillant sur l’île ont dénoncé les lacunes du système de paye, qui cause bien des maux de tête au gouvernement Trudeau.
Boycott
L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) a d’ailleurs incité ses membres à boycotter la Semaine nationale de la fonction publique. «Il semble dérisoire de la part de ce gouvernement de souligner l’importance des fonctionnaires fédéraux et de reconnaître les services essentiels qu’ils fournissent alors qu’il ne peut toujours pas les payer correctement et à temps», a fait valoir dans un communiqué Robyn Benson, présidente nationale.
Dans une mise à jour publiée le 2 juin sur le site Web du gouvernement, on informe «que le nombre de mouvements traités dans le système avait tendance à augmenter en avril et en mai» et que le «nombre de mouvements en attente d’intervention ne cessait de croître», pour une augmentation d’environ 10 %.
L’AFPC a également fait des recommandations au palier gouvernemental, notamment «de régler les problèmes techniques de Phénix […] et de rembourser aux fonctionnaires, avec intérêts, les frais engagés à cause de Phénix; les dédommager pour les torts causés et le temps passé à régler leurs problèmes de paye»..
En avril dernier, plusieurs personnes avaient fait savoir leur mécontentement devant les bureaux du député Angelo Iacono, qui était sorti à l’extérieur rencontrer les participants et leur assurer son appui.
Cette fois-ci, c’est sur l’heure du midi devant l’édifice de l’Agence du revenu du Canada, avenue Jean-Béraud, à Chomedey, et en frappant sur une piñata en forme de phénix que 200 fonctionnaires travaillant sur l’île ont dénoncé les lacunes du système de paye, qui cause bien des maux de tête au gouvernement Trudeau.
Boycott
L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) a d’ailleurs incité ses membres à boycotter la Semaine nationale de la fonction publique. «Il semble dérisoire de la part de ce gouvernement de souligner l’importance des fonctionnaires fédéraux et de reconnaître les services essentiels qu’ils fournissent alors qu’il ne peut toujours pas les payer correctement et à temps», a fait valoir dans un communiqué Robyn Benson, présidente nationale.
Dans une mise à jour publiée le 2 juin sur le site Web du gouvernement, on informe «que le nombre de mouvements traités dans le système avait tendance à augmenter en avril et en mai» et que le «nombre de mouvements en attente d’intervention ne cessait de croître», pour une augmentation d’environ 10 %.
L’AFPC a également fait des recommandations au palier gouvernemental, notamment «de régler les problèmes techniques de Phénix […] et de rembourser aux fonctionnaires, avec intérêts, les frais engagés à cause de Phénix; les dédommager pour les torts causés et le temps passé à régler leurs problèmes de paye»..