L’équipe féminine n’a jamais subi la défaite depuis 2001. Le brio des Lavalloises, Karolane Côté, Stéphanie Decoste, Gabrielle Croteau, Axelle Galarneau, Amélie Lahaie et Élise St-Aubin-Fournier, a notamment permis au Canada de rafler un neuvième titre.
Les Canadiennes ont vaincu le Japon et la France en cinq périodes. Elles ont gagné trois parties alors que les Japonaises ont savouré deux gains. «Nous avons eu peur de perdre, avoue Karolane Côté qui en était à une première présence à la Coupe du monde. Nous avons eu très chaud, mais nous étions sûres de sortir victorieuses.»
Karolane, 19 ans, a adoré son expérience. «C’est une très grande fierté de faire partie de cette équipe multiple championne.» L’athlète de Fabreville croit avoir contribué au succès de la formation unifoliée. «Contre le Japon en ronde préliminaire, j’ai réussi à me démarquer et les entraîneurs ont vu mon potentiel, précise-t-elle. J’ai utilisé ma grande rapidité dans ce tournoi. J’ai réalisé de belles feintes, marqué et amassé des points.»
L’étudiante en soins infirmiers au Collège Lionel-Groulx aimerait bien vivre à nouveau l’expérience en participant à sa deuxième Coupe du monde en 2019, en France.
Retour au sommet
Pour sa part, la formation masculine canadienne, dont faisaient partie les Lavallois David Latendresse et Benoit Pelland, a renoué avec le sommet mondial en décrochant la médaille d’or. Elle a dominé la finale en l’emportant en trois périodes face aux formations du Japon et de la République tchèque.
En 2015, le Canada avait terminé au pied du podium, en Espagne.
«Notre objectif était de reprendre notre titre, assure Latendresse qui en était à sa troisième présence à la Coupe du monde. Nous étions prêts, car nous avons eu une excellente préparation. On y a cru durant tout le tournoi.»
David Latendresse croit que sa rapidité et vitesse de réaction ont contribué à la victoire ultime. L’athlète de 26 ans souhaite que le doublé d’or puisse inspirer de nombreux Québécois à la pratique du kinball.
«L’ambiance était incroyable. Le travail d’équipe nous a permis de l’emporter», conclut celui qui aimerait lui aussi pouvoir aider le Canada à conserver son titre en 2019.
L’équipe féminine n’a jamais subi la défaite depuis 2001. Le brio des Lavalloises, Karolane Côté, Stéphanie Decoste, Gabrielle Croteau, Axelle Galarneau, Amélie Lahaie et Élise St-Aubin-Fournier, a notamment permis au Canada de rafler un neuvième titre.
Les Canadiennes ont vaincu le Japon et la France en cinq périodes. Elles ont gagné trois parties alors que les Japonaises ont savouré deux gains. «Nous avons eu peur de perdre, avoue Karolane Côté qui en était à une première présence à la Coupe du monde. Nous avons eu très chaud, mais nous étions sûres de sortir victorieuses.»
Karolane, 19 ans, a adoré son expérience. «C’est une très grande fierté de faire partie de cette équipe multiple championne.» L’athlète de Fabreville croit avoir contribué au succès de la formation unifoliée. «Contre le Japon en ronde préliminaire, j’ai réussi à me démarquer et les entraîneurs ont vu mon potentiel, précise-t-elle. J’ai utilisé ma grande rapidité dans ce tournoi. J’ai réalisé de belles feintes, marqué et amassé des points.»
L’étudiante en soins infirmiers au Collège Lionel-Groulx aimerait bien vivre à nouveau l’expérience en participant à sa deuxième Coupe du monde en 2019, en France.
Retour au sommet
Pour sa part, la formation masculine canadienne, dont faisaient partie les Lavallois David Latendresse et Benoit Pelland, a renoué avec le sommet mondial en décrochant la médaille d’or. Elle a dominé la finale en l’emportant en trois périodes face aux formations du Japon et de la République tchèque.
En 2015, le Canada avait terminé au pied du podium, en Espagne.
«Notre objectif était de reprendre notre titre, assure Latendresse qui en était à sa troisième présence à la Coupe du monde. Nous étions prêts, car nous avons eu une excellente préparation. On y a cru durant tout le tournoi.»
David Latendresse croit que sa rapidité et vitesse de réaction ont contribué à la victoire ultime. L’athlète de 26 ans souhaite que le doublé d’or puisse inspirer de nombreux Québécois à la pratique du kinball.
«L’ambiance était incroyable. Le travail d’équipe nous a permis de l’emporter», conclut celui qui aimerait lui aussi pouvoir aider le Canada à conserver son titre en 2019.