Ce projet établi en partenariat avec l’entreprise Bus Patrouille inc. s’étalera sur une période de 45 jours.
L’objectif est d’identifier les infractions routières, tels les «dépassements et croisements illégaux d’autobus scolaires lorsque les feux rouges intermittents sont en marche ou leur signal d’arrêt est déployé», fait valoir le gouvernement dans un communiqué émis le 28 février.
«Comme ancien policier, la sécurité des enfants m’interpelle beaucoup, rapporte le député de Vimont, Jean Rousselle, l’instigateur du projet. Je remarque souvent des gens qui se fichent des panneaux arrêts des autobus. On dirait qu’ils ne se souviennent pas de leur cours de conduite. Ça roule dans leur tête ou ils parlent au cellulaire.»
Des représentants de l’entreprise Bus Patrouille sont allés à Québec rencontrer l’adjoint parlementaire du ministre de la Sécurité publique afin d’expliquer leur projet. L’idée a tout de suite plu à Jean Rousselle.
«Il y a un volet préventif dans tout ça et ça va également nous amener des données qui permettront d’identifier une zone à problème. Ça va enligner le travail des policiers.»
Radars
Les caméras installées sur les autobus fonctionnent comme les radars photo. Dès que les panneaux se déploient sur le véhicule, elles se mettent en marche dans les deux sens de la circulation.
«Les autos sont filmées et ça prend le numéro de la plaque. Il n’y a aucuns frais pour nous, c’est Bus Patrouille qui prend tout en charge (installation et ressources)», indique l’élu lavallois.
Laval n’est pas la seule région à expérimenter avec des caméras du genre. Outre les trois sur l’île, Montréal (3), l’Outaouais (1), les Laurentides (1), la Côte-Nord (1), la Montérégie (1) et l’Estrie (2) feront aussi partie du projet pilote.
Pour ce qui est du comité de suivi qui évaluera les résultats, identifiera les enjeux liés à l’implantation de cette technologie et qui devra formuler des recommandations, il sera composé de représentants, entre autres, du Directeur des poursuites criminelles et pénales; de la Fédération des transporteurs par autobus et l’Association des directeurs de police du Québec.
Ce projet établi en partenariat avec l’entreprise Bus Patrouille inc. s’étalera sur une période de 45 jours.
L’objectif est d’identifier les infractions routières, tels les «dépassements et croisements illégaux d’autobus scolaires lorsque les feux rouges intermittents sont en marche ou leur signal d’arrêt est déployé», fait valoir le gouvernement dans un communiqué émis le 28 février.
«Comme ancien policier, la sécurité des enfants m’interpelle beaucoup, rapporte le député de Vimont, Jean Rousselle, l’instigateur du projet. Je remarque souvent des gens qui se fichent des panneaux arrêts des autobus. On dirait qu’ils ne se souviennent pas de leur cours de conduite. Ça roule dans leur tête ou ils parlent au cellulaire.»
Des représentants de l’entreprise Bus Patrouille sont allés à Québec rencontrer l’adjoint parlementaire du ministre de la Sécurité publique afin d’expliquer leur projet. L’idée a tout de suite plu à Jean Rousselle.
«Il y a un volet préventif dans tout ça et ça va également nous amener des données qui permettront d’identifier une zone à problème. Ça va enligner le travail des policiers.»
Radars
Les caméras installées sur les autobus fonctionnent comme les radars photo. Dès que les panneaux se déploient sur le véhicule, elles se mettent en marche dans les deux sens de la circulation.
«Les autos sont filmées et ça prend le numéro de la plaque. Il n’y a aucuns frais pour nous, c’est Bus Patrouille qui prend tout en charge (installation et ressources)», indique l’élu lavallois.
Laval n’est pas la seule région à expérimenter avec des caméras du genre. Outre les trois sur l’île, Montréal (3), l’Outaouais (1), les Laurentides (1), la Côte-Nord (1), la Montérégie (1) et l’Estrie (2) feront aussi partie du projet pilote.
Pour ce qui est du comité de suivi qui évaluera les résultats, identifiera les enjeux liés à l’implantation de cette technologie et qui devra formuler des recommandations, il sera composé de représentants, entre autres, du Directeur des poursuites criminelles et pénales; de la Fédération des transporteurs par autobus et l’Association des directeurs de police du Québec.