Situé en plein coeur du Centropolis, le nouveau Parma Café a ouvert ses portes au début de novembre. À l’image des trois autres succursales de Montréal, son offre de café haut de gamme, paninis, salades et pâtisseries a de quoi réjouir les amateurs de délices à l’italienne.
Une clientèle familiale fréquente déjà le Parma Café les samedis et dimanches, tandis que les travailleurs et étudiants l’ont adopté en semaine pour le café et le lunch.
Une fois la commande passée à la caisse, les clients sont servis à la table. Sur le comptoir, trône une rutilante machine à café.
«Quand on a fondé le premier Parma Café en 2016, on trouvait qu’il manquait de bon café à Montréal, mentionne Angelo Capp, copropriétaire du Parma Café. La qualité du café est vraiment très importante pour nous.»
(Photo Geneviève Quessy)
Au menu, diverses sortes de paninis au pain croustillant, dont le populaire panini poulet pané et aubergines marinées, et un panini fort original au fromage et rôti de boeuf maison, servi avec une sauce brune en garniture.
Des pâtes, salades, et une foule de pâtisseries à l’italienne s’y ajoutent.
Les pains sont croustillants, la salade fraîche, les viandes de qualité, et le café parfait, en tout respect de la tradition italienne.
«Tout est fait maison ici! Les sauces, vinaigrette césar, bacon fumé et autres viandes, arancinis, biscuits, et autres, sont préparés dans notre cuisine centrale située au Marché Theresa de Sainte-Thérèse, et ensuite livrés dans les Parma Café, ajoute Angelo Capp.
Tous deux d’origine italienne, Angelo Capp et son partenaire Éric Petraglia sont en affaires ensemble depuis 20 ans.
(Photo Geneviève Quessy)
En 2016, ils ont fondé le premier Parma Café sur la rue Bishop, à Montréal, puis un autre rue de la Gauchetière, ainsi qu’un troisième au marché Jean-Talon.
Partager la tradition italienne est au coeur de leur démarche.
«Notre objectif était de créer une expérience qui permette aux gens de se sentir bienvenus, recréer l’ambiance familiale des dimanches qu’on passait avec nos parents, alors qu’on arrêtait à la pâtisserie avant d’aller chez les grands-parents, explique Éric Petraglia. Beaucoup de nos recettes viennent de ma mère et ma grand-mère. C’est nos parents qui nous ont tout donné, alors on perpétue la tradition.»
(Photo Geneviève Quessy)
Une cinquième succursale Parma Café pourrait bien voir le jour sous peu.
«On a fait des sondages, et parmi notre clientèle du centre-ville de Montréal, beaucoup de travailleurs habitent à Laval, confie Angelo Capp. Quand on leur demande où ils veulent le prochain Parma Café, ils continuent à nous dire Laval! Est-ce qu’on veut grossir encore? Bonne question! Une chose est sûre, c’est qu’on ne veut pas sacrifier la qualité.»
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