L’objectif est de recueillir des propositions qui seront incorporées à la plateforme du parti devant être adoptée au congrès d’août prochain.
«Ces consultations se feront avec des intervenants de tous les horizons, a-t-il déclaré. Il n’est pas question de rouvrir la constitution. Nous voulons des propositions concrètes afin que davantage de Québécois se reconnaissent dans les politiques de notre parti.»
Défi de taille
Andrew Scheer a rencontré, entre autres, la Chambre de commerce et d’industrie de Laval, mais aussi des entrepreneurs, car il compte autant sur les organisations que les individus pour faire le pleins de «bonne idées».
Il s’est déjà rendu dans plusieurs villes du Québec, par exemple, à Chicoutimi où se tiendra le 18 juin une élection partielle importante pour son parti qui compte seulement 11 députés au Québec. « Nous avons besoin de l’appui d’un plus grand nombre de Québécois et, pour cela, nous voulons répondre à leurs aspirations. »
Le chef aura du pain sur la planche à Laval puisque les quatre circonscriptions y sont encore fidèles au Parti libéral.
«Nous voulons convaincre les électeurs que nous partageons plusieurs valeurs avec eux, par exemple, au sujet de l’immigration ou la légalisation du cannabis», a-t-il expliqué.
Rappelons toutefois que ses positions contre des sujets comme l’avortement, l’aide médicale à mourir et les mariages de même sexe vont à contre-courant d’un certain consensus au Québec.
Par ailleurs, le chef dit comprendre que pour les Lavallois, échaudés par la saga Vaillancourt, les enjeux de transparence et d’intégrité dans l’administration publique sont très sensibles. Il rappelle que c’est son gouvernement qui a fait adopter, en 2006, une loi sur la transparence. M. Scheer continuera sa tournée québécoise au cours de l’été.
L’objectif est de recueillir des propositions qui seront incorporées à la plateforme du parti devant être adoptée au congrès d’août prochain.
«Ces consultations se feront avec des intervenants de tous les horizons, a-t-il déclaré. Il n’est pas question de rouvrir la constitution. Nous voulons des propositions concrètes afin que davantage de Québécois se reconnaissent dans les politiques de notre parti.»
Défi de taille
Andrew Scheer a rencontré, entre autres, la Chambre de commerce et d’industrie de Laval, mais aussi des entrepreneurs, car il compte autant sur les organisations que les individus pour faire le pleins de «bonne idées».
Il s’est déjà rendu dans plusieurs villes du Québec, par exemple, à Chicoutimi où se tiendra le 18 juin une élection partielle importante pour son parti qui compte seulement 11 députés au Québec. « Nous avons besoin de l’appui d’un plus grand nombre de Québécois et, pour cela, nous voulons répondre à leurs aspirations. »
Le chef aura du pain sur la planche à Laval puisque les quatre circonscriptions y sont encore fidèles au Parti libéral.
«Nous voulons convaincre les électeurs que nous partageons plusieurs valeurs avec eux, par exemple, au sujet de l’immigration ou la légalisation du cannabis», a-t-il expliqué.
Rappelons toutefois que ses positions contre des sujets comme l’avortement, l’aide médicale à mourir et les mariages de même sexe vont à contre-courant d’un certain consensus au Québec.
Par ailleurs, le chef dit comprendre que pour les Lavallois, échaudés par la saga Vaillancourt, les enjeux de transparence et d’intégrité dans l’administration publique sont très sensibles. Il rappelle que c’est son gouvernement qui a fait adopter, en 2006, une loi sur la transparence. M. Scheer continuera sa tournée québécoise au cours de l’été.