Ce jour-là, le Service du greffe a comptabilisé 823 signatures pour l’ensemble des 10 zones qui faisaient l’objet d’une demande d’approbation référendaire.
Deux d’entre elles ont d’ailleurs recueilli le nombre suffisant de signatures pour la tenue d’un référendum, informe le conseiller de Parti Laval dans Laval-des-Rapide et grand opposant à ce projet de règlement, Pierre Anthian.
Il s’agit de la zone située au sud du boulevard de la Concorde et une autre bordant les immeubles à condo Urbania, implantés à un jet de pierre au nord de l’amphithéâtre, précise-t-il.
Pour la suite des choses, deux options s’offrent à l’administration Demers: fixer la date d’un scrutin ou retirer son règlement. Si elle devait opter pour la première, on assisterait à la tenue d’un premier référendum dans l’histoire de Laval.
Des 10 zones faisant l’objet d’une demande d’approbation référendaire ce jour-là, 2 ont recueilli le nombre suffisant de signatures pour la tenue d’un référendum, informe le conseiller de Parti Laval dans Laval-des-Rapide et grand opposant à ce projet de règlement, Pierre Anthian.
Il s’agit de la zone située au sud du boulevard de la Concorde et une autre bordant les immeubles à condo Urbania, implantés à un jet de pierre au nord de l’amphithéâtre, précise-t-il.
Pour la suite des choses, deux options s’offrent à l’administration Demers: fixer la date d’un scrutin ou retirer son règlement. Si elle devait opter pour la première, on assisterait à la tenue d’un premier référendum dans l’histoire de Laval.
Enjeu
Rappelons qu’à moins de 5 mois de l’ouverture de l’amphithéâtre de 10 000 sièges, le projet de règlement adopté en seconde lecture vise à permettre le partage de milliers de cases de stationnement sur les terrains commerciaux et institutionnels voisinant avec le secteur du centre-ville. Actuellement, le règlement municipal en vigueur restreint leur usage aux seuls clients de ces établissements.
Pour l’élu du secteur, cette solution menace directement la quiétude de ses concitoyens, lui qui craint des débordements majeurs dans les rues résidentielles en périphérie de la Place Bell, les soirs d’événement. Ces spectateurs, estime-t-il, chercheront à éviter de débourser les 15 à 20 $ exigés pour un stationnement payant en garant leur véhicule dans les rues avoisinantes.
«Le maire [Demers] doit maintenant rester cohérent avec sa volonté d’écouter les citoyens et devra proposer des solutions concrètes pour assurer le maintien de leur qualité de vie», mentionne M. Anthian.
Mesures concrètes
Parmi les mesures avancées par Pierre Anthian, notons le prolongement des vignettes interdisant le stationnement aux visiteurs en soirée et les fins de semaine. Il suggère également une surveillance accrue pour assurer le respect de cette interdiction.
«Actuellement, les résidents du centre-ville n’ont pas d’espace pour accueillir les membres de leur famille, amis, personnel médical ou autres visiteurs occasionnels, déplore le conseiller de Laval-des-Rapides, ajoutant que l’ouverture de la Place Bell ne fera qu’exacerber leur problème. Nous devons assurer le développement harmonieux du centre-ville en préservant la qualité de vie des résidents de ce secteur.»
Enfin, le chef de Parti Laval, Michel Trottier, reproche au maire Marc Demers de sacrifier la qualité de vie de certains citoyens pour «corriger une situation qu’il a lui-même créée» après avoir autorisé la construction d’un amphithéâtre de 10 000 sièges avec un stationnement de seulement 700 cases.
Déjà paru: La problématique de stationnement pourrait susciter un référendum
Ce jour-là, le Service du greffe a comptabilisé 823 signatures pour l’ensemble des 10 zones qui faisaient l’objet d’une demande d’approbation référendaire.
Deux d’entre elles ont d’ailleurs recueilli le nombre suffisant de signatures pour la tenue d’un référendum, informe le conseiller de Parti Laval dans Laval-des-Rapide et grand opposant à ce projet de règlement, Pierre Anthian.
Il s’agit de la zone située au sud du boulevard de la Concorde et une autre bordant les immeubles à condo Urbania, implantés à un jet de pierre au nord de l’amphithéâtre, précise-t-il.
Pour la suite des choses, deux options s’offrent à l’administration Demers: fixer la date d’un scrutin ou retirer son règlement. Si elle devait opter pour la première, on assisterait à la tenue d’un premier référendum dans l’histoire de Laval.
Des 10 zones faisant l’objet d’une demande d’approbation référendaire ce jour-là, 2 ont recueilli le nombre suffisant de signatures pour la tenue d’un référendum, informe le conseiller de Parti Laval dans Laval-des-Rapide et grand opposant à ce projet de règlement, Pierre Anthian.
Il s’agit de la zone située au sud du boulevard de la Concorde et une autre bordant les immeubles à condo Urbania, implantés à un jet de pierre au nord de l’amphithéâtre, précise-t-il.
Pour la suite des choses, deux options s’offrent à l’administration Demers: fixer la date d’un scrutin ou retirer son règlement. Si elle devait opter pour la première, on assisterait à la tenue d’un premier référendum dans l’histoire de Laval.
Enjeu
Rappelons qu’à moins de 5 mois de l’ouverture de l’amphithéâtre de 10 000 sièges, le projet de règlement adopté en seconde lecture vise à permettre le partage de milliers de cases de stationnement sur les terrains commerciaux et institutionnels voisinant avec le secteur du centre-ville. Actuellement, le règlement municipal en vigueur restreint leur usage aux seuls clients de ces établissements.
Pour l’élu du secteur, cette solution menace directement la quiétude de ses concitoyens, lui qui craint des débordements majeurs dans les rues résidentielles en périphérie de la Place Bell, les soirs d’événement. Ces spectateurs, estime-t-il, chercheront à éviter de débourser les 15 à 20 $ exigés pour un stationnement payant en garant leur véhicule dans les rues avoisinantes.
«Le maire [Demers] doit maintenant rester cohérent avec sa volonté d’écouter les citoyens et devra proposer des solutions concrètes pour assurer le maintien de leur qualité de vie», mentionne M. Anthian.
Mesures concrètes
Parmi les mesures avancées par Pierre Anthian, notons le prolongement des vignettes interdisant le stationnement aux visiteurs en soirée et les fins de semaine. Il suggère également une surveillance accrue pour assurer le respect de cette interdiction.
«Actuellement, les résidents du centre-ville n’ont pas d’espace pour accueillir les membres de leur famille, amis, personnel médical ou autres visiteurs occasionnels, déplore le conseiller de Laval-des-Rapides, ajoutant que l’ouverture de la Place Bell ne fera qu’exacerber leur problème. Nous devons assurer le développement harmonieux du centre-ville en préservant la qualité de vie des résidents de ce secteur.»
Enfin, le chef de Parti Laval, Michel Trottier, reproche au maire Marc Demers de sacrifier la qualité de vie de certains citoyens pour «corriger une situation qu’il a lui-même créée» après avoir autorisé la construction d’un amphithéâtre de 10 000 sièges avec un stationnement de seulement 700 cases.
Déjà paru: La problématique de stationnement pourrait susciter un référendum