Trente-six des 38 postes ainsi comblés ont été confiés aux élus du parti au pouvoir, qui composent 19 des 21 conseillers élus.
Critique
«Je crois qu’on aurait pu faire preuve d’un peu plus de diversité», a commenté le conseiller de Fabreville et représentant de l’opposition officielle, Claude Larochelle.
Il a critiqué au passage le fait qu’Aglaia Revelakis d’Action Laval et lui aient été nommés sur le même comité (Commission de la gouvernance), faisant en sorte que les élus du Mouvement lavallois soient exclusivement représentés au sein des 11 autres comités.
En réplique au maire Marc Demers, qui soulignait que la proportion des nominations est représentative de la composition du conseil municipal, M. Larochelle a rappelé qu’une majorité de Lavallois (54 %) avaient voté pour un parti autre que le Mouvement lavallois au scrutin du 5 novembre.
M. Demers lui avait également signifié qu’«avant de mandater quelqu’un pour nous représenter au sein d’un conseil d’administration à la CMM ou ailleurs, il y a un lien de confiance à construire.»
Le chef de l’opposition, Michel Trottier, a quant à lui fait valoir la diversité politique comme un moyen «d’assurer une gestion transparence et non partisane» des comités en place.
«Pour la deuxième fois en deux mandats, l’ensemble des postes rémunérés des comités est octroyé aux élus du parti au pouvoir», a-t-il déploré.
Mentionnons que la Commission de la gouvernance, où les élus siègent bénévolement, a pour mandat d’accompagner, guider et conseiller les administrateurs des organismes subventionnés par la Ville et d’examiner les prévisions budgétaires de même que les rapports annuels et financiers de ces organismes.
Nouveaux venus
Des cinq nouveaux élus du Mouvement lavallois, la conseillère de Souvenir-Labelle, Sandra El-Helou, a été la plus choyée. Nommée membre associée au comité exécutif, celle qui a obtenu la 4e plus forte majorité au dernier scrutin siège aussi au conseil d’administration de Tourisme Laval et de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) de même qu’au Comité de vérification de la Ville de Laval.
Élu dans Saint-François, le président du parti, Éric Morasse, hérite de la vice-présidence de la Société de transport de Laval (STL) en plus d’être nommé au Conseil consultatif agricole (CCA) de la Ville.
Pour sa part, Yannick Langlois, conseiller de L’Orée-des-Bois, préside aux destinées du Comité de vérification de la Ville et siège au Comité consultatif d’urbanisme (CCU).
Dans Laval-des-Rapides, la conseillère Isabella Tassoni se retrouve à la Commission de la gouvernance et au Comité de vérification, alors que son collègue dans Renaud, Aram Elagoz, siège au Comité consultatif en environnement (CCE).
Enfin, à l’exception du conseiller municipal Paolo Galati, réélu dans Saint-Vincent-de-Paul sous la bannière du Mouvement lavallois – Équipe Marc Demers, tous les élus du conseil ont fait l’objet d’au moins une nomination.
Trente-six des 38 postes ainsi comblés ont été confiés aux élus du parti au pouvoir, qui composent 19 des 21 conseillers élus.
Critique
«Je crois qu’on aurait pu faire preuve d’un peu plus de diversité», a commenté le conseiller de Fabreville et représentant de l’opposition officielle, Claude Larochelle.
Il a critiqué au passage le fait qu’Aglaia Revelakis d’Action Laval et lui aient été nommés sur le même comité (Commission de la gouvernance), faisant en sorte que les élus du Mouvement lavallois soient exclusivement représentés au sein des 11 autres comités.
En réplique au maire Marc Demers, qui soulignait que la proportion des nominations est représentative de la composition du conseil municipal, M. Larochelle a rappelé qu’une majorité de Lavallois (54 %) avaient voté pour un parti autre que le Mouvement lavallois au scrutin du 5 novembre.
M. Demers lui avait également signifié qu’«avant de mandater quelqu’un pour nous représenter au sein d’un conseil d’administration à la CMM ou ailleurs, il y a un lien de confiance à construire.»
Le chef de l’opposition, Michel Trottier, a quant à lui fait valoir la diversité politique comme un moyen «d’assurer une gestion transparence et non partisane» des comités en place.
«Pour la deuxième fois en deux mandats, l’ensemble des postes rémunérés des comités est octroyé aux élus du parti au pouvoir», a-t-il déploré.
Mentionnons que la Commission de la gouvernance, où les élus siègent bénévolement, a pour mandat d’accompagner, guider et conseiller les administrateurs des organismes subventionnés par la Ville et d’examiner les prévisions budgétaires de même que les rapports annuels et financiers de ces organismes.
Nouveaux venus
Des cinq nouveaux élus du Mouvement lavallois, la conseillère de Souvenir-Labelle, Sandra El-Helou, a été la plus choyée. Nommée membre associée au comité exécutif, celle qui a obtenu la 4e plus forte majorité au dernier scrutin siège aussi au conseil d’administration de Tourisme Laval et de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) de même qu’au Comité de vérification de la Ville de Laval.
Élu dans Saint-François, le président du parti, Éric Morasse, hérite de la vice-présidence de la Société de transport de Laval (STL) en plus d’être nommé au Conseil consultatif agricole (CCA) de la Ville.
Pour sa part, Yannick Langlois, conseiller de L’Orée-des-Bois, préside aux destinées du Comité de vérification de la Ville et siège au Comité consultatif d’urbanisme (CCU).
Dans Laval-des-Rapides, la conseillère Isabella Tassoni se retrouve à la Commission de la gouvernance et au Comité de vérification, alors que son collègue dans Renaud, Aram Elagoz, siège au Comité consultatif en environnement (CCE).
Enfin, à l’exception du conseiller municipal Paolo Galati, réélu dans Saint-Vincent-de-Paul sous la bannière du Mouvement lavallois – Équipe Marc Demers, tous les élus du conseil ont fait l’objet d’au moins une nomination.