«Une gestion serrée nous a permis d’atteindre notre cible de dépense en aménageant une réserve prudente appropriée, a déclaré le maire Marc Demers par voie de communiqué, le 3 mai. Comme il nous est interdit de faire un déficit, le maintien de léger surplus est nécessaire pour faire face aux imprévus.»
Ventilation
Ce surplus réalisé sur un budget de 810,5 M$ s’explique, entre autres, par la récupération de 8,5 M$ de sommes payées injustement sous l’ancien régime corrompu, des revenus d’intérêts soit 2,9 M$ plus élevés que prévus et des fruits de la vente de terrain 1,4 M$ de plus que ce qui avait été budgété.
Des économies de l’ordre de 8,5 M$ en frais de financement complètent le tableau.
Dépenses en immobilisations
Par ailleurs, l’exercice terminé le 31 décembre dernier témoigne d’une «solide performance» en termes de dépenses en immobilisation réalisées.
Cela double les investissements de 2015, qui passent de 99,6 à 202 M$.
Ces sommes investies se ventilent ainsi: 83,1 M$ en projets et 95,2 M$ en programmes tels que prévus au plan triennal d’immobilisation (PTI) pour l’année 2016, alors que 24,5 M$ n’étaient pas budgétés.
Il s’agit d’une contribution de 20 M$ à la Cité de la culture et du sport et de 4,5 M$ pour des opérations cadastrales aux fins de parc, précise la porte-parole de la Ville, Nadine Lussier.
Enfin, l’administration Demers rappelle s’être dotée de mécanismes de saine gestion des fonds publics, tels la Politique de gestion contractuelle et le Cadre de gouvernance des projets et programmes d’envergure.
«Une gestion serrée nous a permis d’atteindre notre cible de dépense en aménageant une réserve prudente appropriée, a déclaré le maire Marc Demers par voie de communiqué, le 3 mai. Comme il nous est interdit de faire un déficit, le maintien de léger surplus est nécessaire pour faire face aux imprévus.»
Ventilation
Ce surplus réalisé sur un budget de 810,5 M$ s’explique, entre autres, par la récupération de 8,5 M$ de sommes payées injustement sous l’ancien régime corrompu, des revenus d’intérêts soit 2,9 M$ plus élevés que prévus et des fruits de la vente de terrain 1,4 M$ de plus que ce qui avait été budgété.
Des économies de l’ordre de 8,5 M$ en frais de financement complètent le tableau.
Dépenses en immobilisations
Par ailleurs, l’exercice terminé le 31 décembre dernier témoigne d’une «solide performance» en termes de dépenses en immobilisation réalisées.
Cela double les investissements de 2015, qui passent de 99,6 à 202 M$.
Ces sommes investies se ventilent ainsi: 83,1 M$ en projets et 95,2 M$ en programmes tels que prévus au plan triennal d’immobilisation (PTI) pour l’année 2016, alors que 24,5 M$ n’étaient pas budgétés.
Il s’agit d’une contribution de 20 M$ à la Cité de la culture et du sport et de 4,5 M$ pour des opérations cadastrales aux fins de parc, précise la porte-parole de la Ville, Nadine Lussier.
Enfin, l’administration Demers rappelle s’être dotée de mécanismes de saine gestion des fonds publics, tels la Politique de gestion contractuelle et le Cadre de gouvernance des projets et programmes d’envergure.