Présidé par le réalisateur Martin Strange-Hansen, gagnant de l’Oscar du meilleur court-métrage en 2003, le jury a sélectionné 20 films, dont La tapette, parmi les 1302 oeuvres reçues.
«Notre film leur a vraiment plu, de confier Alexandre Vaillancourt qui signe scénario, réalisation, en plus d’avoir joué le rôle principal de son court-métrage. Nous aurons maintenant droit à une projection au EYE Film Museum d’Amsterdam, aux Pays-Bas, et un atelier au Australian Centre for Moving Image, à Melbourne, en Australie.»
D’autres festivals, notamment en Corée et à Vancouver, s’intéressent aussi à la diffusion de cette pellicule portant sur l’homophobie.
Lutter contre un tabou
Étudiant au Collège Letendre, le jeune Fabrevillois de 16 ans avait participé au tournage d’un premier court-métrage sur la thématique de l’intimidation et la violence dans le cadre de son cours de français. L’œuvre avait d’ailleurs été choisie par le Festival du court-métrage jeunesse de Longueuil, en mai.
«J’ai toujours plein d’idées et j’écris beaucoup de scénarios, confie celui qui admire Xavier Dolan et Gus Van Sant. Je voulais écrire sur l’homophobie, une réalité encore taboue qu’on essaie d’occulter, comme si ça n’existait plus.»
Cet hiver, l’adolescent et ses amis ont amassé des sous pour louer de l’équipement. Le scénario était ficelé depuis décembre.
«Nous avons tourné au moins 12 heures en extérieur dans des conditions très rudes, les 22 et 23 février, de raconter Alexandre Vaillancourt. Mon ami et photographe Tom Langlois m’a beaucoup aidé tout au long du processus. Le montage nous a pris quatre mois, avant d’envoyer le résultat à des festivals.»
Ayant suivi diverses formations en jeu dramatique, peaufinant toujours son clavier de scénariste, le jeune artiste espère maintenant trouver du financement pour concrétiser ses projets futurs de cinéma. Il rêve notamment d’une projection publique de son court-métrage à l’auditorium du Collège Letendre.
Présidé par le réalisateur Martin Strange-Hansen, gagnant de l’Oscar du meilleur court-métrage en 2003, le jury a sélectionné 20 films, dont La tapette, parmi les 1302 oeuvres reçues.
«Notre film leur a vraiment plu, de confier Alexandre Vaillancourt qui signe scénario, réalisation, en plus d’avoir joué le rôle principal de son court-métrage. Nous aurons maintenant droit à une projection au EYE Film Museum d’Amsterdam, aux Pays-Bas, et un atelier au Australian Centre for Moving Image, à Melbourne, en Australie.»
D’autres festivals, notamment en Corée et à Vancouver, s’intéressent aussi à la diffusion de cette pellicule portant sur l’homophobie.
Lutter contre un tabou
Étudiant au Collège Letendre, le jeune Fabrevillois de 16 ans avait participé au tournage d’un premier court-métrage sur la thématique de l’intimidation et la violence dans le cadre de son cours de français. L’œuvre avait d’ailleurs été choisie par le Festival du court-métrage jeunesse de Longueuil, en mai.
«J’ai toujours plein d’idées et j’écris beaucoup de scénarios, confie celui qui admire Xavier Dolan et Gus Van Sant. Je voulais écrire sur l’homophobie, une réalité encore taboue qu’on essaie d’occulter, comme si ça n’existait plus.»
Cet hiver, l’adolescent et ses amis ont amassé des sous pour louer de l’équipement. Le scénario était ficelé depuis décembre.
«Nous avons tourné au moins 12 heures en extérieur dans des conditions très rudes, les 22 et 23 février, de raconter Alexandre Vaillancourt. Mon ami et photographe Tom Langlois m’a beaucoup aidé tout au long du processus. Le montage nous a pris quatre mois, avant d’envoyer le résultat à des festivals.»
Ayant suivi diverses formations en jeu dramatique, peaufinant toujours son clavier de scénariste, le jeune artiste espère maintenant trouver du financement pour concrétiser ses projets futurs de cinéma. Il rêve notamment d’une projection publique de son court-métrage à l’auditorium du Collège Letendre.