Une cinquantaine de personnes, dont des représentants de tous les paliers gouvernementaux, ont pu apprécier le travail des 32 artistes s’étant inspirés des mots de Gaëtan Lavoie pour créer leur œuvre unique.
«L’eau, c’est elle que l’on déverse inutilement alors que des oubliés peinent à remplir des seaux qu’ils transportent de points d’eau en villages sur leur tête ou à dos d’âne. Pourtant, il me semble que c’est de l’or qui tombe du ciel», exprime notamment l’auteur, dont ce texte a donné naissance à l’acrylique Mesestimée, d’Annette Cormier.
«Le thème de l’eau touche tout le monde, c’est la première fois que tous nos membres participent à notre galerie itinérante, d’affirmer Francine Gauthier, présidente des PAV. On a abordé pas mal tous les aspects, de la maman enceinte à la pollution, en passant par la sécheresse, les tornades et les enfants qui s’amusent simplement dans l’eau.»
En 2015, la première exposition itinérante des PAV célébrait les 50 ans de la Ville de Laval. L’an dernier, une vingtaine d’artistes avaient confectionné son Passeport pour la paix, qu’elle soit d’ordre intérieur ou extérieur.
Cette fois, avec l’eau, sa beauté, sa fragilité, le travail de création a été surtout axé sur le réalisme des scènes, bien que quelques approches plus abstraites ont subsisté.
Dans Sainte-Rose
La galerie itinérante quittera bientôt les locaux d’Hachem. Toutefois, les gens pourront encore en découvrir le résultat du 27 au 30 juillet, à la Galerie Le Pépin d’Art, boulevard Sainte-Rose, en parallèle avec le Symposium de Sainte-Rose.
«Les gens aiment s’arrêter et discuter de notre engagement social en tant qu’artistes, de confier Francine Gauthier. Également, nos artistes apprécient ce contact avec le public et cette visibilité pour leur travail.»
Une cinquantaine de personnes, dont des représentants de tous les paliers gouvernementaux, ont pu apprécier le travail des 32 artistes s’étant inspirés des mots de Gaëtan Lavoie pour créer leur œuvre unique.
«L’eau, c’est elle que l’on déverse inutilement alors que des oubliés peinent à remplir des seaux qu’ils transportent de points d’eau en villages sur leur tête ou à dos d’âne. Pourtant, il me semble que c’est de l’or qui tombe du ciel», exprime notamment l’auteur, dont ce texte a donné naissance à l’acrylique Mesestimée, d’Annette Cormier.
«Le thème de l’eau touche tout le monde, c’est la première fois que tous nos membres participent à notre galerie itinérante, d’affirmer Francine Gauthier, présidente des PAV. On a abordé pas mal tous les aspects, de la maman enceinte à la pollution, en passant par la sécheresse, les tornades et les enfants qui s’amusent simplement dans l’eau.»
En 2015, la première exposition itinérante des PAV célébrait les 50 ans de la Ville de Laval. L’an dernier, une vingtaine d’artistes avaient confectionné son Passeport pour la paix, qu’elle soit d’ordre intérieur ou extérieur.
Cette fois, avec l’eau, sa beauté, sa fragilité, le travail de création a été surtout axé sur le réalisme des scènes, bien que quelques approches plus abstraites ont subsisté.
Dans Sainte-Rose
La galerie itinérante quittera bientôt les locaux d’Hachem. Toutefois, les gens pourront encore en découvrir le résultat du 27 au 30 juillet, à la Galerie Le Pépin d’Art, boulevard Sainte-Rose, en parallèle avec le Symposium de Sainte-Rose.
«Les gens aiment s’arrêter et discuter de notre engagement social en tant qu’artistes, de confier Francine Gauthier. Également, nos artistes apprécient ce contact avec le public et cette visibilité pour leur travail.»