Le samedi 24 juin, les Lavallois.es ont vibré à l’écoute de mélodies québécoises et souligné l’anniversaire de la Belle Province au Centre de la Nature.
Après les présentations de l’équipe par l’animatrice de la soirée Rita Baga, c’est l’auteure-compositrice-interprète attikamek Laura Niquay qui a ouvert le bal en chantant dans sa langue native.
Claudia Bouvette accompagnée d’Hologramme, Brigitte Boisjoli et Pierre Kwenders, ex-lavallois récipiendaire du Prix de musique Polaris 2022, accompagné par L’Isle ont tour à tour interprété l’une de leurs pièces.
L’artiste Marie-Gold a ensuite enflammé la scène avec son morceau C’est qui le boss? alors que la foule répondait en chœur «Laval».
Après sa performance, le tant attendu Michel Rivard a fait son entrée sur scène en interprétant une chanson tirée de son plus récent album. Le membre fondateur du groupe Beau Dommage a d’ailleurs été la star de la soirée, mêlant sa voix à celles d’artistes de la relève à plusieurs reprises au cours du spectacle. Soulignons notamment la fameuse Complainte du phoque en Alaska chantée avec Martha Wainwright.
Les chanteurs Ariane Roy, Bon Enfant, Gab Bouchard, Lou-Adriane Cassidy et Rymz ont également performé pour les milliers de citoyens présents.
Mani Soleymanlou et Sophie Cadieux ont écrit et déclaré le texte patriotique de l’année où ils dépeignaient un avenir meilleur pour le Québec et pour Laval. Ils ont notamment fait référence à l’autobus de la garderie Sainte-Rose ainsi qu’à certains lieux emblématiques de la région, comme le Carrefour Laval ou le Centre de la Nature.
Rita Baga a réservé une belle surprise au public: Gabrielle Destroismaisons a fait son apparition pour l’un des derniers numéros du spectacle où elle a chanté l’iconique hit Et cetera popularisé au début des années 2000.
La soirée musicale s’est conclue avec le classique Je voudrais voir la mer interprété par la quinzaine d’artistes participants au spectacle.
Après les prestations, le public a pu se déhancher au rythme d’une bande sonore créée par Hologramme malgré l’absence de l’habituel feu d’artifice, annulé pour des raisons de sécurité.