«Nous avons une 8eédition excitante et diversifiée avec notamment quatre compagnies théâtrales qui n’avaient jamais participé, d’affirmer Steve Berthelotte, président du Festival des Molières. Déjà, malgré les intempéries, la réponse a été bonne durant la première semaine.»
Les représentations se poursuivront jusqu’au 18 juin sur le site situé au 5475, boulevard Saint-Martin Ouest, dans Chomedey.
«Nous avons déployé une grande banderole visible de l’autoroute 13 afin d’inviter les gens à venir oser le théâtre, de continuer M. Berthelotte. Nous avons un café sous chapiteau et un traiteur pour les artistes.»
Programmation
Ce mercredi 7 juin, la troupe Les Belles-Folles de Laval jettera son dévolu sur la comédie dramatique sur le vieillissement C’est-y beau le temps qui t’amène? de Marie-Claire Baigner. Le lendemain, le Théâtre la p’tite réplique de Sherbrooke fera honneur au classique québécois Appelez-moi Stéphane, signé Claude Meunier et Louis Saïa, où un professeur de jeu dramatique débarque en banlieue et amène ses élèves à exprimer leur secret.
Les amateurs d’exotisme nippon pourront trouver leur compte dans Le tombeau des lucioles, un écrit autobiographique d’Akiyuki Nosaka adapté par Vincent Gomez et joué par le Théâtre du Cerisier, de Montréal, dans la soirée du vendredi 9 juin.
Les 10 et 11 juin, des comédiens de Victoriaville et Thetford Mines offriront des prestations avec l’objectif de dérider les spectateurs avec des comédies québécoises, soit le collectif de La déprime et Nuit blanche en traversin, de Bruno Lacroix et François Xavier Torre.
«Nous avons reçu une vingtaine d’inscriptions avant de devoir sélectionner notre programmation, d’indiquer Steve Berthelotte. Notre famille s’agrandit toujours d’année en année, tout comme notre public de fidèles qui croît annuellement de 10 %. À ce jour, 42 troupes ont pris part au Festival.»
Durant la troisième semaine, cinq productions seront à l’affiche du 14 au 18 juin. Le public pourra apprécier divers types de comédie, où se succéderont des conspirateurs internationaux, fermiers cultivant un cannabis et produisant un fromage aphrodisiaque, un chaos propice à une satire sociale et un voyage en camion de livraison à travers le Canada en compagnie de bœuf, d’une danseuse et deux conducteurs.
Pour clôturer les Molières, la soirée Gala sera présentée le samedi 24 juin. Cette soirée récompensera le talent des troupes, encourageant les initiatives et le développement du milieu théâtral avec 10 prix et 1000 $ en bourses. Le groupe de musique Moi et les Boys sera de la fête dès 21h30.
«Nous avons une 8eédition excitante et diversifiée avec notamment quatre compagnies théâtrales qui n’avaient jamais participé, d’affirmer Steve Berthelotte, président du Festival des Molières. Déjà, malgré les intempéries, la réponse a été bonne durant la première semaine.»
Les représentations se poursuivront jusqu’au 18 juin sur le site situé au 5475, boulevard Saint-Martin Ouest, dans Chomedey.
«Nous avons déployé une grande banderole visible de l’autoroute 13 afin d’inviter les gens à venir oser le théâtre, de continuer M. Berthelotte. Nous avons un café sous chapiteau et un traiteur pour les artistes.»
Programmation
Ce mercredi 7 juin, la troupe Les Belles-Folles de Laval jettera son dévolu sur la comédie dramatique sur le vieillissement C’est-y beau le temps qui t’amène? de Marie-Claire Baigner. Le lendemain, le Théâtre la p’tite réplique de Sherbrooke fera honneur au classique québécois Appelez-moi Stéphane, signé Claude Meunier et Louis Saïa, où un professeur de jeu dramatique débarque en banlieue et amène ses élèves à exprimer leur secret.
Les amateurs d’exotisme nippon pourront trouver leur compte dans Le tombeau des lucioles, un écrit autobiographique d’Akiyuki Nosaka adapté par Vincent Gomez et joué par le Théâtre du Cerisier, de Montréal, dans la soirée du vendredi 9 juin.
Les 10 et 11 juin, des comédiens de Victoriaville et Thetford Mines offriront des prestations avec l’objectif de dérider les spectateurs avec des comédies québécoises, soit le collectif de La déprime et Nuit blanche en traversin, de Bruno Lacroix et François Xavier Torre.
«Nous avons reçu une vingtaine d’inscriptions avant de devoir sélectionner notre programmation, d’indiquer Steve Berthelotte. Notre famille s’agrandit toujours d’année en année, tout comme notre public de fidèles qui croît annuellement de 10 %. À ce jour, 42 troupes ont pris part au Festival.»
Durant la troisième semaine, cinq productions seront à l’affiche du 14 au 18 juin. Le public pourra apprécier divers types de comédie, où se succéderont des conspirateurs internationaux, fermiers cultivant un cannabis et produisant un fromage aphrodisiaque, un chaos propice à une satire sociale et un voyage en camion de livraison à travers le Canada en compagnie de bœuf, d’une danseuse et deux conducteurs.
Pour clôturer les Molières, la soirée Gala sera présentée le samedi 24 juin. Cette soirée récompensera le talent des troupes, encourageant les initiatives et le développement du milieu théâtral avec 10 prix et 1000 $ en bourses. Le groupe de musique Moi et les Boys sera de la fête dès 21h30.