Pendant que les 50 artistes répétaient à tour de rôle avant la première qui inaugurera officiellement la Place Bell sur le coup de 19h30, Nicolas s’assurait que la trame sonore jouée en direct par 7 musiciens ne rencontre aucune anicroche.
«Il ne manque pas de matériel à gérer! d’exprimer en souriant celui qui a grandi dans Sainte-Rose. Nous devons offrir une sonorisation spatiale de haut niveau et régler tout problème pouvant survenir, en plus de se préparer à notre tournée européenne où nous serons confrontés à d’autres standards, notamment lors de notre séjour au célèbre Royal Albert Hall, à Londres, en janvier prochain.»
60 villes et 1 ouragan
L’arrêt lavallois somme la fin d’une longue virée des arénas nord-américains pour OVO. Après sa création sous chapiteau au Vieux-Montréal, en 2009, une formule adaptée aux amphithéâtres a été lancée en avril 2016.
«Nous visitons une 61e ville après notamment Jacksonville l’an passé, quand nous avons dû évacuer d’urgence vers l’Alabama pour fuir l’ouragan Matthew, de raconter Nicolas Chabot, attaché de presse de la tournée. Nos 25 techniciens permanents montent tout en une quinzaine d’heures, aidés par 60 à 80 autres embauchés temporairement sur place.»
Après les 6 représentations, près de 100 personnes participeront au démontage dimanche avant l’envolée pour Zurich, Genève et Salzbourg avant que l’automne ne se passe sous les couleurs allemandes.
Entraînement constant
À quelques heures du lever de rideau, pendant que les 11 porteurs et voltigeuses du segment de cadre russe testaient l’équipement de la scène principale, les 6 impressionnantes jeunes Chinoises adeptes de la jonglerie de pied visionnaient une captation de leur performance de la semaine précédente.
Plus loin, le couple québécois formé par Alexis Trudel et Catherine Audy s’entraînait main à main, après s’être exercé aux sangles aériennes une heure plus tôt.
«Nous avons été présentés au Cirque du Soleil il y a quatre ans par des connaissances communes, de préciser Alexis Trudel, originaire de Gaspé. Les possibilités techniques nous permettent de jouer avec la vitesse et les hauteurs, ce qui rend notre prestation très dynamique. Ce soir, ce sera spécial d’inaugurer cet aréna. Le public est nouveau et souvent plus fébrile. C’est excitant pour nous.»
Dans d’autres espaces, l’équipe des costumes révisait chacune des 1000 pièces inspectées et lavées chaque jour, alors que les trois physiothérapeutes traitaient les possibles éclopés et les cinq cuisiniers préparaient les repas.
«Il y autant sinon plus d’action derrière la scène que devant, de confirmer Nicolas Chabot, impressionné par les installations lavalloises. Les échauffements, entraînements, essayages se succèdent dans un contexte pas toujours évident d’aréna qu’il faut garder chaud pour tout le monde.»
Pendant que les 50 artistes répétaient à tour de rôle avant la première qui inaugurera officiellement la Place Bell sur le coup de 19h30, Nicolas s’assurait que la trame sonore jouée en direct par 7 musiciens ne rencontre aucune anicroche.
«Il ne manque pas de matériel à gérer! d’exprimer en souriant celui qui a grandi dans Sainte-Rose. Nous devons offrir une sonorisation spatiale de haut niveau et régler tout problème pouvant survenir, en plus de se préparer à notre tournée européenne où nous serons confrontés à d’autres standards, notamment lors de notre séjour au célèbre Royal Albert Hall, à Londres, en janvier prochain.»
60 villes et 1 ouragan
L’arrêt lavallois somme la fin d’une longue virée des arénas nord-américains pour OVO. Après sa création sous chapiteau au Vieux-Montréal, en 2009, une formule adaptée aux amphithéâtres a été lancée en avril 2016.
«Nous visitons une 61e ville après notamment Jacksonville l’an passé, quand nous avons dû évacuer d’urgence vers l’Alabama pour fuir l’ouragan Matthew, de raconter Nicolas Chabot, attaché de presse de la tournée. Nos 25 techniciens permanents montent tout en une quinzaine d’heures, aidés par 60 à 80 autres embauchés temporairement sur place.»
Après les 6 représentations, près de 100 personnes participeront au démontage dimanche avant l’envolée pour Zurich, Genève et Salzbourg avant que l’automne ne se passe sous les couleurs allemandes.
Entraînement constant
À quelques heures du lever de rideau, pendant que les 11 porteurs et voltigeuses du segment de cadre russe testaient l’équipement de la scène principale, les 6 impressionnantes jeunes Chinoises adeptes de la jonglerie de pied visionnaient une captation de leur performance de la semaine précédente.
Plus loin, le couple québécois formé par Alexis Trudel et Catherine Audy s’entraînait main à main, après s’être exercé aux sangles aériennes une heure plus tôt.
«Nous avons été présentés au Cirque du Soleil il y a quatre ans par des connaissances communes, de préciser Alexis Trudel, originaire de Gaspé. Les possibilités techniques nous permettent de jouer avec la vitesse et les hauteurs, ce qui rend notre prestation très dynamique. Ce soir, ce sera spécial d’inaugurer cet aréna. Le public est nouveau et souvent plus fébrile. C’est excitant pour nous.»
Dans d’autres espaces, l’équipe des costumes révisait chacune des 1000 pièces inspectées et lavées chaque jour, alors que les trois physiothérapeutes traitaient les possibles éclopés et les cinq cuisiniers préparaient les repas.
«Il y autant sinon plus d’action derrière la scène que devant, de confirmer Nicolas Chabot, impressionné par les installations lavalloises. Les échauffements, entraînements, essayages se succèdent dans un contexte pas toujours évident d’aréna qu’il faut garder chaud pour tout le monde.»