En ouverture, le maestro lavallois a rendu hommage à l’œuvre de John Williams, connu pour ses trames musicales au grand écran. De jeunes élèves, notamment des écoles Curé-Antoine-Labelle et Mont-de-La Salle, se trouvaient parmi les musiciens professionnels pour jouer les airs connus de Star Wars, Jaws, E.T. et Indiana Jones.
«J’aime diriger et travailler avec des jeunes et je suis un passionné de cinéma, de confier Alain Trudel. Je voulais une œuvre puissante à laquelle ils puissent s’identifier.»
Thérèse Spénard-Pilon
En première partie, l’ensemble a aussi rendu hommage à l’une de ses fondatrices, Thérèse Spénard-Pilon, interprétant Sarabande, de John Britten.
«Je voulais une œuvre à la fois profonde et joviale pour cette femme qui avait gardé son âme de jeune fille», de préciser celui qui a témoigné des encouragements reçus par cette grande dame lavalloise à ses débuts avec l’OSL.
Avant de se retirer pour l’entracte, le chef a rappelé pourquoi il est considéré comme l’un des meilleurs trombonistes de la planète, livrant en grande première le concerto Altitude signé Nicolas Gilbert, compositeur en résidence. Un morceau exigeant pour le virtuose.
«Finalement, la Symphonie no. 5, de Chostakovitch, était un incontournable pour moi, raconte le chef. C’est une œuvre que je connais depuis l’adolescence. C’est elle qui m’a donné le goût de la musique classique, de l’orchestre, avec son énergie remplie de secret et résilience.»
Bilan et avenir
Avant d’être désigné en tant que maestro, Alain Trudel avait joué quelques fois comme soliste au sein de l’OSL. Il l’avait aussi dirigé à une occasion.
«Mais le défi comprenait sa part d’inconnu, concède-t-il. J’ai voulu immédiatement que l’orchestre soit le plus près du public possible. Jean-François Rivest avait fait un travail remarquable sur le plan musical. J’ai poussé plus loin l’implication dans la communauté, une de mes grandes priorités, en développant un son d’une intensité et proximité propre à ma personnalité.»
Aujourd’hui, l’orchestre fait partie de l’ADN lavallois, ayant intégré un circuit estival de parcs et une tournée des CHSLD sous la férule d’Alain Trudel.
Cette démarche a aussi ouvert les portes de l’étiquette classique ATMA pour qui, l’OSL a enregistré un CD d’airs de Respighi. «Ils ont fait appel à nous pour un second disque que nous enregistrerons le 25 octobre, avec des œuvres d’opéra en compagnie de Marie-Josée Lord.»
Également, Alain Trudel se réjouit chaque jour de l’acoustique renouvelée à la salle André-Mathieu après d’importantes rénovations. «C’est mieux encore que ce à quoi nous nous attendions, dit-il. Nous poursuivons même les tests pour y améliorer sans cesse nos performances.»
Le président du conseil d’administration de l’OSL, Marcel Lemay, a annoncé que le contrat de maestro Trudel était renouvelé pour quelques années. En plus de solidifier les acquis, le principal intéressé compte œuvrer au rayonnement de l’orchestre dans la Rive-Nord, dans les Laurentides et Lanaudière.
«Il faut également poursuivre les efforts pour assurer à long terme la pérennité de l’OSL pour les 20, 40, 50 prochaines années, souligne-t-il. Je veux aider à trouver les gens qui vont contribuer à établir un fonds de dotation solide et durable pour nous accompagner dans cette aventure.»
En ouverture, le maestro lavallois a rendu hommage à l’œuvre de John Williams, connu pour ses trames musicales au grand écran. De jeunes élèves, notamment des écoles Curé-Antoine-Labelle et Mont-de-La Salle, se trouvaient parmi les musiciens professionnels pour jouer les airs connus de Star Wars, Jaws, E.T. et Indiana Jones.
«J’aime diriger et travailler avec des jeunes et je suis un passionné de cinéma, de confier Alain Trudel. Je voulais une œuvre puissante à laquelle ils puissent s’identifier.»
Thérèse Spénard-Pilon
En première partie, l’ensemble a aussi rendu hommage à l’une de ses fondatrices, Thérèse Spénard-Pilon, interprétant Sarabande, de John Britten.
«Je voulais une œuvre à la fois profonde et joviale pour cette femme qui avait gardé son âme de jeune fille», de préciser celui qui a témoigné des encouragements reçus par cette grande dame lavalloise à ses débuts avec l’OSL.
Avant de se retirer pour l’entracte, le chef a rappelé pourquoi il est considéré comme l’un des meilleurs trombonistes de la planète, livrant en grande première le concerto Altitude signé Nicolas Gilbert, compositeur en résidence. Un morceau exigeant pour le virtuose.
«Finalement, la Symphonie no. 5, de Chostakovitch, était un incontournable pour moi, raconte le chef. C’est une œuvre que je connais depuis l’adolescence. C’est elle qui m’a donné le goût de la musique classique, de l’orchestre, avec son énergie remplie de secret et résilience.»
Bilan et avenir
Avant d’être désigné en tant que maestro, Alain Trudel avait joué quelques fois comme soliste au sein de l’OSL. Il l’avait aussi dirigé à une occasion.
«Mais le défi comprenait sa part d’inconnu, concède-t-il. J’ai voulu immédiatement que l’orchestre soit le plus près du public possible. Jean-François Rivest avait fait un travail remarquable sur le plan musical. J’ai poussé plus loin l’implication dans la communauté, une de mes grandes priorités, en développant un son d’une intensité et proximité propre à ma personnalité.»
Aujourd’hui, l’orchestre fait partie de l’ADN lavallois, ayant intégré un circuit estival de parcs et une tournée des CHSLD sous la férule d’Alain Trudel.
Cette démarche a aussi ouvert les portes de l’étiquette classique ATMA pour qui, l’OSL a enregistré un CD d’airs de Respighi. «Ils ont fait appel à nous pour un second disque que nous enregistrerons le 25 octobre, avec des œuvres d’opéra en compagnie de Marie-Josée Lord.»
Également, Alain Trudel se réjouit chaque jour de l’acoustique renouvelée à la salle André-Mathieu après d’importantes rénovations. «C’est mieux encore que ce à quoi nous nous attendions, dit-il. Nous poursuivons même les tests pour y améliorer sans cesse nos performances.»
Le président du conseil d’administration de l’OSL, Marcel Lemay, a annoncé que le contrat de maestro Trudel était renouvelé pour quelques années. En plus de solidifier les acquis, le principal intéressé compte œuvrer au rayonnement de l’orchestre dans la Rive-Nord, dans les Laurentides et Lanaudière.
«Il faut également poursuivre les efforts pour assurer à long terme la pérennité de l’OSL pour les 20, 40, 50 prochaines années, souligne-t-il. Je veux aider à trouver les gens qui vont contribuer à établir un fonds de dotation solide et durable pour nous accompagner dans cette aventure.»