«Quand tu fais le tour des participants qui nous proposent leurs toiles avec tellement de détails, en travaillant dans leur bulle, c’est un rendez-vous qui vaut le détour, d’ajouter le résident de Champfleury qui exposera une trentaine de ses photographies, lui qui avait fait de même en 2015. C’est aussi important pour Sainte-Rose, avec la tradition des grands peintres d’ici et les gens d’ailleurs qui apprécient autant la qualité que le cachet de l’événement.»
L’an dernier, le Symposium de Sainte-Rose avait attiré 25 000 visiteurs. Daniel Daignault souhaite maintenant que la 22e édition fasse encore mieux.
Nouveautés et continuité
Les 90 artistes seront répartis en 5 îlots autour du centre d’art Ste-Rose, les écoles Latour et Villemaire, le couvent et le presbytère. Huile, acrylique, pastel sec, aquarelle, techniques mixtes, bronze, aluminium, bois, tous les médiums seront présents au service de personnages, paysages et thèmes plus abstraits.
«Ces artistes sont différents chaque année parce qu’ils sont sélectionnés par un jury indépendant, d’indiquer Carole Faucher, présidente de Rose-Art, l’organisme chapeautant le Symposium de Sainte-Rose depuis les débuts. La variété des pratiques et médiums va surprendre tout le monde.»
Cette année, la tente d’initiation à la peinture sort de l’ombre et sera installée face au boulevard Sainte-Rose. Également, on pourra prendre part à l’encan silencieux des toiles ayant illustré les 14 quartiers de Laval pour la mosaïque marquant les 50 ans de la ville.
Pendant que deux musiciens mettront de l’ambiance et que la Société d’histoire et généalogie de l’Île Jésus instruira les plus curieux sur ce site patrimonial, une exposition de sculptures des membres de Rose-Art sera ouverte aux visites.
«L’important demeure la bonne humeur caractéristique de notre événement où notre trentaine de bénévoles revient toujours d’année en année dans un esprit de grande fête de l’art, continue Carole Faucher. Nous avons même une dame de 90 ans qui tient encore à faire sa part!»
Président d’honneur du Symposium pour une deuxième année consécutive, le député provincial de Sainte-Rose, Jean Habel, a précisé qu’il comptait acheter une œuvre chaque année pour ensuite l’exposer en public dans son bureau de comté. Une initiative qu’a saluée la quarantaine de personnes ayant assisté au lancement de l’événement, le 27 juin, à la galerie La Vieille Caserne, au cœur du Vieux-Sainte-Rose.
«Quand tu fais le tour des participants qui nous proposent leurs toiles avec tellement de détails, en travaillant dans leur bulle, c’est un rendez-vous qui vaut le détour, d’ajouter le résident de Champfleury qui exposera une trentaine de ses photographies, lui qui avait fait de même en 2015. C’est aussi important pour Sainte-Rose, avec la tradition des grands peintres d’ici et les gens d’ailleurs qui apprécient autant la qualité que le cachet de l’événement.»
L’an dernier, le Symposium de Sainte-Rose avait attiré 25 000 visiteurs. Daniel Daignault souhaite maintenant que la 22e édition fasse encore mieux.
Nouveautés et continuité
Les 90 artistes seront répartis en 5 îlots autour du centre d’art Ste-Rose, les écoles Latour et Villemaire, le couvent et le presbytère. Huile, acrylique, pastel sec, aquarelle, techniques mixtes, bronze, aluminium, bois, tous les médiums seront présents au service de personnages, paysages et thèmes plus abstraits.
«Ces artistes sont différents chaque année parce qu’ils sont sélectionnés par un jury indépendant, d’indiquer Carole Faucher, présidente de Rose-Art, l’organisme chapeautant le Symposium de Sainte-Rose depuis les débuts. La variété des pratiques et médiums va surprendre tout le monde.»
Cette année, la tente d’initiation à la peinture sort de l’ombre et sera installée face au boulevard Sainte-Rose. Également, on pourra prendre part à l’encan silencieux des toiles ayant illustré les 14 quartiers de Laval pour la mosaïque marquant les 50 ans de la ville.
Pendant que deux musiciens mettront de l’ambiance et que la Société d’histoire et généalogie de l’Île Jésus instruira les plus curieux sur ce site patrimonial, une exposition de sculptures des membres de Rose-Art sera ouverte aux visites.
«L’important demeure la bonne humeur caractéristique de notre événement où notre trentaine de bénévoles revient toujours d’année en année dans un esprit de grande fête de l’art, continue Carole Faucher. Nous avons même une dame de 90 ans qui tient encore à faire sa part!»
Président d’honneur du Symposium pour une deuxième année consécutive, le député provincial de Sainte-Rose, Jean Habel, a précisé qu’il comptait acheter une œuvre chaque année pour ensuite l’exposer en public dans son bureau de comté. Une initiative qu’a saluée la quarantaine de personnes ayant assisté au lancement de l’événement, le 27 juin, à la galerie La Vieille Caserne, au cœur du Vieux-Sainte-Rose.