Des structures d’acier conçues dans des ateliers de Charlemagne et Beloeil à la collaboration d’une équipe chinoise venue de Beijing, en passant par la culture de fleurs et plantes apposées sur des oeuvres représentant les moyens de transport, sports et animaux caractéristiques de l’identité canadienne, les visiteurs en auront plein les yeux et narines jusqu’au 15 octobre.
«C’est intéressant d’aller au-delà de la culture de bégonias et géraniums et faire voir la santoline, l’alternanthera et ajuga hemigraphis que j’aime beaucoup, de confier Yves Vaillancourt, de la sixième génération à gérer la Ferme d’Auteuil, avenue des Perron. C’est un défi stimulant de s’attarder au détail et tenter d’améliorer constamment le mouvement.»
Possédant une formation d’architecte-paysagiste à la base, Yves Vaillancourt est l’homme de confiance pour la conception des pièces édifiées par Mosaïcultures Internationales de Montréal depuis 2003. Il n’en est pas à sa première du genre, ayant pris part à la préparation de nombreux événements horticoles à travers le monde, aux côtés de l’organisme chargé d’organiser MosaïCanada 150/Gatineau 2017.
«Yves aime particulièrement les arts, de mentionner Lise Cormier, vice-présidente exécutive et directrice générale du chef de file montréalais en matière d’événements horticoles internationaux. À partir de plantes, il arrive à créer des agencements de couleurs et ensembles spectaculaires et féériques pour nos visiteurs.»
Pas moins de 80 variétés différentes de fleurs et plantes ont servi à créer une gare (55 pieds) et une locomotive à l’échelle (225 pieds de longueur), les 3 bateaux de la traversée de Jacques Cartier (en fleurs de lys), bisons, boeufs musqués, joueurs de hockey, ainsi qu’un imposant inukshuk de 33 pieds de hauteur.
La Terre-Mère, dont plusieurs ont pu apprécier les 14 mètres de hauteur il y a quelques années au Jardin botanique de Montréal, est aussi reconstituée pour l’occasion.
«Les pièces que nous proposons sont plus grandes et impressionnantes que jamais afin de représenter le Canada au grand complet, d’ajouter Lise Cormier. À chaque exposition, notre principale motivation est d’aller plus haut, plus loin!»
Des structures d’acier conçues dans des ateliers de Charlemagne et Beloeil à la collaboration d’une équipe chinoise venue de Beijing, en passant par la culture de fleurs et plantes apposées sur des oeuvres représentant les moyens de transport, sports et animaux caractéristiques de l’identité canadienne, les visiteurs en auront plein les yeux et narines jusqu’au 15 octobre.
«C’est intéressant d’aller au-delà de la culture de bégonias et géraniums et faire voir la santoline, l’alternanthera et ajuga hemigraphis que j’aime beaucoup, de confier Yves Vaillancourt, de la sixième génération à gérer la Ferme d’Auteuil, avenue des Perron. C’est un défi stimulant de s’attarder au détail et tenter d’améliorer constamment le mouvement.»
Possédant une formation d’architecte-paysagiste à la base, Yves Vaillancourt est l’homme de confiance pour la conception des pièces édifiées par Mosaïcultures Internationales de Montréal depuis 2003. Il n’en est pas à sa première du genre, ayant pris part à la préparation de nombreux événements horticoles à travers le monde, aux côtés de l’organisme chargé d’organiser MosaïCanada 150/Gatineau 2017.
«Yves aime particulièrement les arts, de mentionner Lise Cormier, vice-présidente exécutive et directrice générale du chef de file montréalais en matière d’événements horticoles internationaux. À partir de plantes, il arrive à créer des agencements de couleurs et ensembles spectaculaires et féériques pour nos visiteurs.»
Pas moins de 80 variétés différentes de fleurs et plantes ont servi à créer une gare (55 pieds) et une locomotive à l’échelle (225 pieds de longueur), les 3 bateaux de la traversée de Jacques Cartier (en fleurs de lys), bisons, boeufs musqués, joueurs de hockey, ainsi qu’un imposant inukshuk de 33 pieds de hauteur.
La Terre-Mère, dont plusieurs ont pu apprécier les 14 mètres de hauteur il y a quelques années au Jardin botanique de Montréal, est aussi reconstituée pour l’occasion.
«Les pièces que nous proposons sont plus grandes et impressionnantes que jamais afin de représenter le Canada au grand complet, d’ajouter Lise Cormier. À chaque exposition, notre principale motivation est d’aller plus haut, plus loin!»