300À Darwin, dans le nord de l’Australie, la compagnie lavalloise sera l’une des deux troupes de danse à participer à ce grand rassemblement multidisciplinaire, l’autre provenant de Sydney.
«L’équipe sera là du 17 au 19 août avant de partir en plein centre du désert, à Alice Springs, pour un festival essentiellement aborigène, de mentionner Mario Boucher, directeur artistique de [ZØGMA]. Cette tournée offre de belles perspectives de rencontres extraordinaires lors, entre autres, d’ateliers.»
Dernière étape au pays des kangourous, la ville de Katherine profitera de la visite des danseurs pour organiser une grande fête artistique.
En France
Du 15 au 17 septembre, c’est au Festival Le Chaînon Manquant, à Laval-en-Mayenne, que se produiront à cinq reprises les trois danseurs et le percussionniste de la production Cube, le dernier-né de la compagnie.
«C’est un événement organisé pour 300 diffuseurs qui est aussi ouvert au grand public, de préciser Mario Boucher. Nous aimerions y fixer une tournée en sol français pour l’été prochain.»
En novembre, ce sera au tour de Moncton, au Nouveau-Brunswick de recevoir la visite de l’organisme.
Depuis 2015
Depuis sa présentation en ouverture du Gala des prix RIDEAU, en février 2016, après la première montréalaise de l’automne précédent, le spectacle Cube a fait exploser la demande avec la mise en place de 41 représentations l’été suivant, puis une autre quarantaine en 2017.
«Avec une formation plus réduite qu’à l’habitude, il faut s’assurer d’un environnement où l’on entend bien les éléments percussifs venant des interprètes et du musicien, de souligner Mario Boucher. Tout tourne autour de la contrainte, notamment en invitant le public à entrer dans l’espace de danse.»
Toutes les créations de [ZØGMA] s’articulent d’abord autour de la gigue folklorique. Dans Cub, les artistes se sont également inspirés de la rythmique et gestuelle phénoménale du Taiko, ce tambour géant de la tradition japonaise.
Le résultat s’avère très dynamique, les danseurs créant des percussions avec leurs mains, pieds et corps sur six planches formant graduellement un cube, accordées aux instruments tels le cajon, cette boîte de bois du flamenco, le bérimbau brésilien, ainsi qu’un tambour de type cubain.
Belle nouvelle
Tout en travaillant sur une nouvelle production explorant la mémoire collective, la compagnie lavalloise a appris une bonne nouvelle il y a un mois. Le Conseil des arts et des lettres du Québec a doublé son financement annuel, le faisant passer de 50 000 à 105 800 $, reconnaissant ainsi pleinement la mission de l’organisme culturel.
«Bien sûr, une reddition de comptes vient avec cela, note un Mario Boucher fier de cette annonce. C’est une bonne nouvelle autant pour nos artistes que notre approche novatrice en matière de danse et chorégraphie, après 17 ans d’efforts soutenus.»
300À Darwin, dans le nord de l’Australie, la compagnie lavalloise sera l’une des deux troupes de danse à participer à ce grand rassemblement multidisciplinaire, l’autre provenant de Sydney.
«L’équipe sera là du 17 au 19 août avant de partir en plein centre du désert, à Alice Springs, pour un festival essentiellement aborigène, de mentionner Mario Boucher, directeur artistique de [ZØGMA]. Cette tournée offre de belles perspectives de rencontres extraordinaires lors, entre autres, d’ateliers.»
Dernière étape au pays des kangourous, la ville de Katherine profitera de la visite des danseurs pour organiser une grande fête artistique.
En France
Du 15 au 17 septembre, c’est au Festival Le Chaînon Manquant, à Laval-en-Mayenne, que se produiront à cinq reprises les trois danseurs et le percussionniste de la production Cube, le dernier-né de la compagnie.
«C’est un événement organisé pour 300 diffuseurs qui est aussi ouvert au grand public, de préciser Mario Boucher. Nous aimerions y fixer une tournée en sol français pour l’été prochain.»
En novembre, ce sera au tour de Moncton, au Nouveau-Brunswick de recevoir la visite de l’organisme.
Depuis 2015
Depuis sa présentation en ouverture du Gala des prix RIDEAU, en février 2016, après la première montréalaise de l’automne précédent, le spectacle Cube a fait exploser la demande avec la mise en place de 41 représentations l’été suivant, puis une autre quarantaine en 2017.
«Avec une formation plus réduite qu’à l’habitude, il faut s’assurer d’un environnement où l’on entend bien les éléments percussifs venant des interprètes et du musicien, de souligner Mario Boucher. Tout tourne autour de la contrainte, notamment en invitant le public à entrer dans l’espace de danse.»
Toutes les créations de [ZØGMA] s’articulent d’abord autour de la gigue folklorique. Dans Cub, les artistes se sont également inspirés de la rythmique et gestuelle phénoménale du Taiko, ce tambour géant de la tradition japonaise.
Le résultat s’avère très dynamique, les danseurs créant des percussions avec leurs mains, pieds et corps sur six planches formant graduellement un cube, accordées aux instruments tels le cajon, cette boîte de bois du flamenco, le bérimbau brésilien, ainsi qu’un tambour de type cubain.
Belle nouvelle
Tout en travaillant sur une nouvelle production explorant la mémoire collective, la compagnie lavalloise a appris une bonne nouvelle il y a un mois. Le Conseil des arts et des lettres du Québec a doublé son financement annuel, le faisant passer de 50 000 à 105 800 $, reconnaissant ainsi pleinement la mission de l’organisme culturel.
«Bien sûr, une reddition de comptes vient avec cela, note un Mario Boucher fier de cette annonce. C’est une bonne nouvelle autant pour nos artistes que notre approche novatrice en matière de danse et chorégraphie, après 17 ans d’efforts soutenus.»