D’une durée de cinq jours, l’événement se poursuit jusqu’au dimanche 6 août aux abords de l’église Sainte-Rose-de-Lima.
«Déjà, je suis très étonnée par la qualité des gens qui reconnaissent tout le travail se trouvant derrière chaque petit objet ici présent, de déclarer une recrue de l’événement, Chloé Charrette, de Missoui studio, dont les fins objets de verre sont l’un des coups de cœur du public. Le monde est éduqué et intéressé.»
Plus loin, deux habituées de la Semaine des artisans de Laval, Francine Legault et Gisel Morin, souriaient sans arrêt au flot de passants qui s’arrêtaient immanquablement à leur kiosque respectif.
«Les gens nous sont fidèles, de mentionner Mme Legault, dont les sacs réversibles sont faits de tissus recyclés à partir de dons. Il y a une demande qui perdure pour des produits locaux abordables et de qualité. J’aime les cinq jours intensifs et l’esprit festif de la Semaine.»
«Le site est simple et accessible, de continuer Mme Morin, dont les produits de beauté et herbes médicinales proviennent de plantes qu’elle cultive elle-même. Ce n’est que du bonheur que nous vivons ici avec les visiteurs. Je me sens chez nous!»
Les commerçantes mère et fille de Lily Sweet, une boulangerie gourmande installée depuis un an et demi dans Sainte-Rose, se réjouissaient de l’ambiance de l’événement.
«L’endroit met en valeur les artisans locaux et leur travail tout en permettant d’aller chercher une nouvelle clientèle», d’affirmer Dominique et Julie Le Roy.
Sélection rigoureuse
Tenant à bout de bras la Semaine des artisans de Laval depuis maintenant 12 ans, la présidente Annie Depont attribue cette longévité à la persévérance des bénévoles croyant en sa valeur et son importance pour la région.
«C’est une grande aventure à la fois physique et humaine, de confier Mme Depont. J’aime voir que des artisans reviennent encore depuis une décennie. Je leur garde le même emplacement pour que le public puisse conserver ses repères..»
Au fil des ans, l’organisation a resserré les critères de sélection, faisant place à une diversité de produits agroalimentaires et de métiers d’art dont les plus traditionnels, tel le tissage, font un retour à l’avant-scène.
D’une durée de cinq jours, l’événement se poursuit jusqu’au dimanche 6 août aux abords de l’église Sainte-Rose-de-Lima.
«Déjà, je suis très étonnée par la qualité des gens qui reconnaissent tout le travail se trouvant derrière chaque petit objet ici présent, de déclarer une recrue de l’événement, Chloé Charrette, de Missoui studio, dont les fins objets de verre sont l’un des coups de cœur du public. Le monde est éduqué et intéressé.»
Plus loin, deux habituées de la Semaine des artisans de Laval, Francine Legault et Gisel Morin, souriaient sans arrêt au flot de passants qui s’arrêtaient immanquablement à leur kiosque respectif.
«Les gens nous sont fidèles, de mentionner Mme Legault, dont les sacs réversibles sont faits de tissus recyclés à partir de dons. Il y a une demande qui perdure pour des produits locaux abordables et de qualité. J’aime les cinq jours intensifs et l’esprit festif de la Semaine.»
«Le site est simple et accessible, de continuer Mme Morin, dont les produits de beauté et herbes médicinales proviennent de plantes qu’elle cultive elle-même. Ce n’est que du bonheur que nous vivons ici avec les visiteurs. Je me sens chez nous!»
Les commerçantes mère et fille de Lily Sweet, une boulangerie gourmande installée depuis un an et demi dans Sainte-Rose, se réjouissaient de l’ambiance de l’événement.
«L’endroit met en valeur les artisans locaux et leur travail tout en permettant d’aller chercher une nouvelle clientèle», d’affirmer Dominique et Julie Le Roy.
Sélection rigoureuse
Tenant à bout de bras la Semaine des artisans de Laval depuis maintenant 12 ans, la présidente Annie Depont attribue cette longévité à la persévérance des bénévoles croyant en sa valeur et son importance pour la région.
«C’est une grande aventure à la fois physique et humaine, de confier Mme Depont. J’aime voir que des artisans reviennent encore depuis une décennie. Je leur garde le même emplacement pour que le public puisse conserver ses repères..»
Au fil des ans, l’organisation a resserré les critères de sélection, faisant place à une diversité de produits agroalimentaires et de métiers d’art dont les plus traditionnels, tel le tissage, font un retour à l’avant-scène.